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Medievil 2

  • Balt
  • 3 avr. 2016
  • 2 min de lecture

Le jeu dont je vais vous parler est un jeu assez spécial pour moi car c’est le deuxième jeu vidéo auquel j’ai joué (le tout premier étant Formula One 99… Voilà quoi…) et accessoirement mon tout premier jeu d’aventure. Il s’agit de Medievil 2.

Ce charisme !

Le jeu commence à l’intérieur d’un musée de Londres au XIXème siècle. Nous sommes dans la peau (bon, ok, il n’en a pas…) de Sir Daniel Fortesque, ancien chevalier de Gallowmere mort il y a plus de 500 ans. J’ai un peu de mal à me souvenir mais le seul but de Sir Daniel si mes souvenirs sont bons, de retrouver sa tranquillité en empêchant le méchant de ramener d’autres morts à la vie, pour cela il devra traverser les différents niveaux proposés afin de le retrouver. Notre héros rencontrera de drôles de spécimens tout au long du jeu mais les plus marquants resteront le receleur qui ouvrait son imperméable pour te vendre des objets avec un sourire pervers et les horribles femmes à barbes qui apparaissaient dans le niveau du cirque des horreurs. Ce squelette trouvera même l’amour de sa vie en la personne de Kiya, momie d’Egypte également revenue à la vie. Le must dans ce jeu restant pour moi le tout premier combat de boss dans le musée (peut-être parce que c’était le tout premier de ma vie ?) face à ce squelette gigantesque de Tricératops qui appelait ses gamins à la rescousse et qui évoluait en une sorte de Dracaufeu version squelette en grandissant.

La fuite, y'a rien de mieux

Ce jeu était plutôt difficile pour l’époque (ou peut-être parce que j’avais seulement 6 ans), la caméra était pas simple à manier avec la trajectoire du bonhomme mais le gameplay était tout de même plutôt cool. En y repensant, avec un peu de recul, je me rends compte que c’est une sorte de Zelda mélangé avec du Tim Burton modelé par Sony. Le personnage de Sir Daniel Fortesque est assez attachant, c’est une sorte de Mister Bean squelettique, assez peu bavard, quelques grognements, des actions bizarres.

La beauté incarnée

Je n’ai pourtant jamais touché au premier Medievil mais ça reste quand même une licence vidéoludique qui me tient à cœur, et je serais sans doute acheteur si un Medievil 3 venait à sortir dans les années à venir.

Bone to be wild !

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