Borderlands
- Balt
- 27 avr. 2016
- 2 min de lecture
Borderlands est un jeu du studio 2K sorti en 2009, l’aventure se passe sur Pandore, une planète désertique peuplée de bandits, skags (quadrupèdes ayant sans doute quelques liens avec les chiens) et chasseurs d’arches. Nous suivons l’aventure de ces derniers qui sont à la recherche de gloire et de richesses. Vous aurez le choix au début du jeu entre 4 d’entre eux : Brick, le gros bourrin de service, Mordecaï, le sniper d’élite, Roland l’ancien soldat et Lilith, la sirène tirant le meilleur parti des pouvoirs élémentaux. Dirigés par une femme télépathe qui leur est inconnue affirmant qu’ils sont les sauveurs de Pandore, nos 4 héros devront farfouiller sur toute la planète et exterminer leurs ennemis afin de trouver les 4 morceaux de l’arche et ouvrir le passage menant à leur gloire et leur richesse.

J’avais acheté ce jeu en même temps que ma PS3 il y a quasiment 5 ans mais je m’étais arrêté au niveau 23 parce que ça devenait trop difficile en solo. Au final, tout dépend du personnage… Je me rends compte qu’en ayant pris Roland le soldat cette fois-ci, la difficulté est nettement moins importante alors que le niveau demandé avec Mordecaï le sniper est déjà plus relevé. J’ai dû faire ce que j’avais fait dans ma première partie en deux fois moins de temps cette fois-ci.
Le jeu m’avait attiré malgré le côté FPS dont je ne suis pas très fan, tout simplement parce qu’il est somptueusement mélangé avec du bon vieux Action-RPG. Ici, un coup critique correspond à un tir en pleine tête sur les hommes (en dehors de quelques exceptions), il vous faudra sans doute plusieurs coups critiques avant de finir certains ennemis mais ça reste crédible avec tout l’univers post-apocalyptique créé, les PNJ (Personnages Non-Joueurs pour ceux qui ne sauraient pas) et les ennemis sont totalement barrés rendant ce jeu assez unique en son genre. Le jeu se distingue également avec sa mascotte, le Claptrap, petit robot joyeux de la société d’armement Hypérion qui vous propose des quêtes et que trouverez souvent en train de faire de drôles de bruits. D’ailleurs, ils ont eu raison chez 2K de placer le Claptrap comme ennemi du dernier DLC de Borderlands 1, on peut difficilement faire plus charismatique comme ennemi.

Je pensais redonner sa chance à Borderlands prochainement mais l’excellente adaptation de l’univers par Telltale avec Tales from The Borderlands m’a donné envie d’y rejouer immédiatement après l’avoir fini (bon, ok, je me suis spoilé des évènements du 2 et du Pre-Sequel mais c’est pas grave, j’en avais déjà entendu parler…). J’ai donc fait l’acquisition de la Handsome Collection, regroupant le 2 et le Pre-Sequel avec leurs DLC sur PS4 afin d’enchaîner dessus une fois le premier réellement fini. Les graphismes du 1 étant en cell-shading, le jeu n’a pas trop mal vieilli même si on sent qu’il y avait encore du travail à faire sur ce point-là.

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